dangerosité des ampoules led
Nous avons tenté de décortiquer pour vous les 310 pages du rapport de l’ANSES (Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail) afin de comprendre quelles informations il fallait en retirer pour vous donner une information plus succincte et sans doute rassurante. Cette analyse personnelle ne remet en aucun cas en cause les travaux du collectif ayant rendu ce rapport.
Ces informations sont données à titre indicatives et ne sauraient engager le site Eclairage-leds.fr.
Rapport de l'ANSES décrit 2 riques dans sont rapport.
Comme toujours, les médias se sont très vite emparé du dossier en annonçant sans ménagement et avec un minimum d’informations mal comprises du grand public que les LEDs étaient dangereuses ce qui à eut un impact immédiat auprès de la population et une multitude de gens s’interroge maintenant principalement sur la nocivité du bleu dans l’éclairage ! Que l’on se rassure, cette nocivité reconnue dépend principalement du taux d’exposition, de la durée d’exposition et de la puissance de l’éclairage que l’on trouve très difficilement dans le cas d’une ampoule à led utilisée dans des conditions normales d’utilisation.
Pour rappel, le bleu est une composante essentielle du spectre lumineux de la lumière naturelle comme le démontre cette image issue du rapport de l’ANSES.
Source : issue du rapport de l’ANSES
Par conséquent si cette couleur bleue était aussi dangereuse nous devrions alors tous fermer les yeux immédiatement. Ne le faites pas, vous ne pourriez pas terminer la lecture de notre article. Il faut donc savoir lire entre les lignes, et surtout lire l’intégralité du rapport pour comprendre son contenu et savoir ainsi mesurer les risques liés à l’utilisation des LEDs et à cette prédominance de la couleur bleue dans les éclairages blanc froid.
Un éclairage bleu ou blanc froid peut être nocif pour une partie de la population mais à des taux d’exposition relativement élevés.
On y apprend par exemple qu’un luminaire led de 15w composé de 6 led de puissance de 2.5w entraine un risque 0 tandis qu’un luminaire de 3w entraine un risque 1. Le risque est donc difficilement quantifiable par Monsieur tout le monde tant le calcul est complexe à réaliser et les paramètres nombreux. On ne peut donc en aucun cas faire une généralité et dire que toutes les leds sont dangereuses car elles ne le sont pas toutes or c’est bien cette information succincte relayée par un grand nombre de sites qui déstabilise le public.
Par exemple, une veilleuse pour enfant placée sur une prise murale basse hors de portée du champs de vision de l’enfant et équipée d’une petite led bleue de faible puissance juste capable d’éclairer la veilleuse et son environnement proche ne peut en aucun cas entraîner de dommages à un enfant car cette lumière est quasi isotrope (qui a les même propriété physique dans toutes les directions), elle n’est pas focalisée et la quantité de lumière reçue à distance sur le cristallin de l’enfant est infime. Si l’on effectuait une mesure, la lumière naturelle du soleil produirait une quantité de lumière bleue plus importante que celle d’une simple petite led. Il faut donc replacer les informations dans leur contexte et ne pas diffuser une information brute comme quoi la lumière bleue est dangereuse pour la santé. Que dire de toutes les led bleues qui équipent de plus en plus les voyants de nos appareils ménager, hi-fi et informatique et qui focalisent parfois beaucoup plus le flux lumineux or aucune mesure n’a été prise par les fabricants et il faut avouer que cette couleur bleue est justement de plus en plus plébiscitée par le public.
Le rapport précise ceci : La forte composante bleue du spectre d’émission des LED expose à des risques de lésions maculaires aiguës en cas d’exposition à des luminances fortes. Le rapport ne dit pas que la lumière bleue est dangereuse, il en précise, de façon assez complexe, certes le potentiel démontré de dangerosité possible dans certains cas.
On parle donc bien d’une exposition directe face à une source lumineuse de forte puissance et la recommandation de la future norme CEI/TR 62471-2 précisera « Ne pas regarder la source en utilisation normale. Peut être dangereux pour les yeux. » et non pas « produit strictement interdit à la vente ». L’éclairage blanc froid ou de couleur bleue n’est donc pas directement remis en cause du fait d’une utilisation à base de led. Les éclairages bleus et blanc froid existent depuis de nombreuses années, c’est l’exposition directe face à une source lumineuse intense qui peut induire des lésions oculaires sur une partie de la population, une exposition isotrope très modérée à un éclairage bleu ou blanc froid n’a donc pas d’impact nocif très dangereux sur notre santé.
On apprend par exemple dans ce rapport que les systèmes d’éclairage de type scialytiques (blanc froid, uniforme et sans ombre portée) installés dans les blocs opératoires et les fauteuils dentaires peuvent atteindre des puissances de 150.000 Lux tandis que la lumière émise est de type blanc froid et donc à dominante bleue. L’éclairage led n’est donc pas le seul qui puisse présenter un risque, cette menace n’est donc pas liée uniquement à l’éclairage led. C’est avant tout ce que cet article tend à démontrer.
L’étude réalisée porte de surcroît sur des leds de puissance de 1w en général et sur des luminaires à led de 3w, 10w et 15w. Cette étude à ainsi démontré qu’un assemblage de led au sein d’un luminaire entraîne moins de risques qu’une led unitaire nue, raison pour laquelle nous estimons qu’une ampoule led utilisée dans des conditions normales n’entraîne pas ou peu de dommages liés à son utilisation. Naturellement fixer un éclairage led dans l’alignement direct de son faisceau à moins de 20cm comporte des risques que nous ne pouvons pas nier mais iriez vous vous exposer à un crayon halogène de 500w pour le plaisir ? Le bon sens est donc de mise et l’éclairage led s’il est correctement utilisé ne comporte pas plus de risque qu’une éclairage traditionnel au niveau de son taux d’éblouissement sinon que dire des lampadaires sur pied équipés de crayons halogène de 300w ou de 500w.
Le rapport dénonce d’ailleurs qu’il n’existe pas de normes de performances sur les modules de LED et sur les luminaires à LED puisque les normes relatives aux lampes à LED sont à l’état de projet ou d’avant projet. La norme retenue (NF EN 62471 de sécurité photo biologique) est donc inadaptée à l’éclairage led et il faudra donc attendre une harmonisation européenne sur le sujet avant d’avoir des recommandations fiables et obligatoires.
Quelques rappels pour mieux comprendre ce rapport.
Rappel des différentes façons d’obtenir un éclairage blanc avec une led.
– 1 : Combiner une LED émettant une longueur d’onde courte (dans le bleu) avec un luminophore jaune, en général du phosphore.
– 2 : Combiner une LED émettant dans l’ultraviolet proche couplée à un ou plusieurs luminophores.
– 3 : Combiner au moins trois LEDs émettant des longueurs d’ondes visibles qui se combinent pour donner une lumière blanche, en général rouge + vert + bleu.
La méthode la plus utilisée pour obtenir une teinte d’éclairage blanche reste la méthode n°1 car elle est la plus économique à produire, elle représente donc la quasi totalité des éclairages led que l’on retrouve dans une ampoule à led quelques soient les fabricants.
Rappel de quelques termes techniques.
Le lumen est l’unité utilisée pour quantifier le flux lumineux, elle exprime la quantité totale de lumière émise par une source lumineuse. Le candela est l’unité utilisée pour exprimer la quantité de lumière émise dans une direction donnée. Pour finir, le Lux détermine la quantité de lumière reçue sur une surface.
Définition de la classification du niveau de risques définis par la norme NF EN 62471 de sécurité photo biologique qui définit 4 groupes de risques.
- Le groupe de risque 0 (exempt de risque), le produit ne présente aucun risque photo biologique.
- Le groupe de risque 1 (risque faible), le produit ne présente pas un risque lié aux limites d’exposition en condition d’utilisation normale.
- Le groupe de risque 2 (risque modéré), le produit ne présente pas un risque lié à la réponse d’aversion pour les sources à lumière très brillante ou en raison de l’inconfort thermique.
- Le groupe de risque 3 (risque élevé), le produit peut présenter un risque même pour une exposition momentanée ou courte.
La norme NF EN 62 471 prévoit une évaluation du groupe de risque à la distance à laquelle une ou plusieurs led produisent un éclairement de 500 Lux. Un angle de diffusion important de la led diminue alors très fortement le risque puisque la luminence décroit avec l’éloignement de la source. Plus l’angle d’ouverture est important et plus la luminance mesurée en Lux sera faible en s’éloignant de la source.
Que décrit le rapport de L’ANSES ?
– Le risque lié à la lumière bleue, soit l’éclairage bleu pur (bleu roi) soit l’éclairage blanc froid à en dessou de 5200 °K.
– Le risque lié à l’éblouissement.
Il ressort de ce rapport et selon les nombreuses questions des internautes qui nous interpellent qu’il ne précise pas suffisamment si le risque est présent uniquement dans le cadre d’un éclairage bleu obtenu à partir d’une source d’éclairage à base de led ou s’il s’agit d’une généralité de l’éclairage bleu quelques soit la source utilisée. Une précision plus marquée eut été utile ou alors le public n’a pas réussi à comprendre ce risque généré par la lumière bleue.
Le rapport de l’ANSES recommande de classer les LEDs ou éclairages led selon 4 niveau de dangerosité néanmoins ce niveau de dangerosité est à évaluer selon les 2 critères : l’importance de la présence de lumière bleue et le risque d’éblouissement.
Le risque lié à la lumière bleue.
On apprend dans ce rapport que les éclairages blancs froids (connotation bleue prononcée) et la lumière bleue, peuvent entrainer une certaine toxicité pour la rétine sur 3 types de populations particulièrement sensibles.
1.1) Les enfants particulièrement avant 8 ans en raison de la transparence de leur cristallin qui ne filtre peu ou pas les courtes longueurs d’ondes et donc la lumière bleue.
1.2.) Les populations sensibles à la lumière ou consommant des substances photo-sensibilisantes pour lesquels la lumière bleue peut être un facteur aggravant de leur pathologie.
1.3.) Les populations particulièrement exposées aux LEDs, comme les installateurs éclairagistes ou les métiers du spectacles, etc… étant soumis à des éclairages de forte intensité et donc potentiellement à de grandes quantités de lumière bleue.
On en retiendra donc que seule une certaine catégorie de la population est potentiellement visée par ce rapport, que cette nocivité est potentiellement présente sur l’éclairage bleu pur ou sur les éclairages led en blanc froid d’une température de 5200°K et plus sachant que ce rapport parle uniquement de surcroit de led High Power ( led de puissance ) et non pas de led traditionnelles. Nos ampoules sont majoritairement construites avec des led traditionnelles et non avec des led de puissance.
Nous n’avons pas attendu un rapport de la santé publique pour écarter ce type d’éclairage très froid de nos ventes. (blanc froid = forte connotation de lumière bleue dans la lumière blanche), L’avis du public est tombé il y à déjà près de 3 ans, soit comme toujours avec un temps d’avance sur les études même sans en connaitre les risques. Les éclairages proposés de nos jours sont bien moins froids que ce qui se faisait à la naissance de l’éclairage led en 2006-2007, il serait utile de tester un panel de produits finis très important pour obtenir un résultat concret et détaillé.
Nous proposeront prochainement un rapport spectral de toutes nos produits d’éclairages en couplant une sphère d’intégration à un spectromètre afin de tenter de mieux comprendre comment se comporte le spectre d’un éclairage led.
Les ampoules à led que nous commercialisons tentent justement à limiter au maximum toute connotation de froideur dans l’éclairage afin d’obtenir une couleur plus naturelle et plus douce et nos ampoules à led sont maintenant réputées pour cette absence de froideur pourtant si commun aux éclairages led néanmoins il semblerait d’après cette étude qu’il pourrait subsister une quantité de lumière bleue parfois difficilement perceptible ce qui sans appareil de mesure pourrait porter à confusion.
On apprend ainsi que le bleu présente dans le pire des cas induit un risque modéré de niveau 2 basé sur l’utilisation de led de puissance de 0.5w ou de 1w ce qui n’est pas le cas de nos éclairages domestiques, que le blanc froid présente un risque nul à modéré de niveau 2, que le blanc neutre que nous préconisons depuis 3 ans ne présente qu’un risque nul à faible de niveau 1 et que le blanc chaud ne présente aucun risque quelques soit la température de couleur utilisée et le flux lumineux. Dans le doute, mieux vaut donc favoriser les éclairages led en blanc neutre ou en blanc chaud.
Le risque lié à l’éblouissement.
En éclairage d’intérieur, et ce quelques soit la source lumineuse utilisée, il est couramment admis qu’une luminance supérieure à 10 000 cd ( candela) au m² est visuellement gênante quelle que soit la position du luminaire dans le champ visuel. Ce rapport précise qu’en raison du caractère ponctuel de leur surface d’émission très petites, les LED peuvent présenter des luminances 1 000 fois plus élevées sur une surface donnée, cela ne veut pas dire qu’une led est 1000 fois plus puissante qu’une source lumineuse classique mais que sa surface émettrice minuscule produit bien plus de lumière à partir d’une surface donnée que toutes les autres sources lumineuses.
Le niveau de rayonnement direct de ce type de source peut ainsi largement dépasser le niveau d’inconfort visuel, bien plus qu’avec les éclairages dits « classiques » (Ampoule incandescentes, ampoules halogènes ou ampoules fluorescentes compactes) néanmoins ici aussi il faut relativiser car ce type de led ultra puissante n’est que peu utilisée dans les applications domestiques du type ampoule à led ou bandeaux à led.
Toutes les ampoules sont aveuglantes sur le principe, le bon sens est donc de mise avant tout, libre à chacun de ne pas s’exposer inutilement à une source de lumière intense qu’elle soit de type traditionnelle ou led et pour preuve les produits d’éclairages led comportant un niveau de risque 0 ou 1 ne nécessiteront aucun marquage particulier. Le marquage sera obligatoire pour les risques dit modérés soit de niveau 2 et pour les risques élevés dit de niveau 3. Le rapport précise d’ailleurs qu’aucune des led testées ne présente un risque de niveau 3 alors qu’il s’agit tout de même des led parmi les plus puissantes du marché.
Il est à noté d’après ce rapport, que le risque d’effet thermique, c’est à dire une brûlure de la rétine résultant généralement d’une exposition de courte durée à une lumière très intense, est très peu probable dans un usage courant des LED. Il n’y à donc pas de risques potentiels relevés sur l’utilisation courante d’un éclairage à base d’ampoules à LED.
De surcroît, en optant pour des ampoules à led offrant un angle large vous diminuez la luminance et donc le risque de dangerosité de votre éclairage.
Nous soulignons également que ce rapport précise lui-même qu’une partie des tests de ce rapport est basé sur la norme NF EN 62471 de sécurité photo biologique alors qu’elle est inadaptée aux LEDs. Cela ne veut pas dire pour autant que ce rapport est alors sans valeur car les chiffres sont là et parlent d’eux même à qui sait les interpréter mais qu’il faudra réaliser de nouveaux tests basés sur des normes adaptées à l’éclairage led.
Ce rapport rédigé par l’ANSES précise clairement en page 7 que la norme n’étant pas adaptée aux systèmes à LED, ces travaux ne permettent pas d’évaluer rigoureusement les risques photo biologiques liés aux LED, mais simplement d’apprécier le groupe de risque de ces nouveaux éclairages par rapport aux éclairages traditionnels.
Par conséquent il faudra attendre l’apparition de normes spécifiques aux éclairages led pour avoir une vision plus globale et plus fiable de la situation.
Le rapport précise également qu’il existe des ambiguïtés concernant les protocoles de mesures permettant de déterminer le groupe de risque car une même LED considérée individuellement ou intégrée dans un système d’éclairage pourrait être classée dans des groupes de risques différents, la distance d’évaluation imposée par la norme pouvant être différente.
Cela suppose qu’une led peut être considérée dangereuse utilisée seule et parfois classée dans le groupe de risque 2 tandis qu’elle peut présenter peu ou pas de risques si utilisée au sein d’une ampoule ou d’un luminaire et donc être classée dans le groupe 0.
Pour vous démontrer à quel point il ne faut pas faire l’amalgame entre une led et un ensemble de led que vous pouvez par exemple retrouver dans une ampoule à led, voici les mesures retenues par ce rapport.
L’étude démontre qu’une led blanc froid de 200 lumens présente un risque modéré de niveau 2. Cette même étude nous apprend qu’une led multi chip d’une valeur totale de 7000 lumens ne présente plus qu’un risque faible de niveau 1. Pour finir, un ensemble de 100 led de 100 lumens offrant alors un total de 10.000 lumens n’offre plus aucun risque et entre dans le groupe 0.
On serait pourtant enclin à penser que plus une source est puissante et plus elle est potentiellement dangereuse or le rapport nous apprendre que ce n’est pas forcément le cas d’ou une difficulté pour le public à s’y retrouver.
Conclusion de notre étude sur différence la dangerosité des Ampoules à LED.
Cette étude démontre de façon claire et sans ambiguïté qu’une seule led de puissance est plus dangereuse qu’une association de LEDs. Il ne faut pas faire de parallèle entre une LED unitaire de très forte puissance et une ampoule à led.
Les tests de ce rapport ont été effectués majoritairement sur des led de puissance de 1w minimum à 15w de puissance or toutes les ampoules à led que nous fabriquons sous la marque V-LumTech utilisent exclusivement des LEDs classiques qui n’entrent pas dans le cadre de ce test et qui sont par conséquent susceptibles d’être déclarées dans le groupe de risque niveau 0.
De surcroît cette étude à démontré que la multiplication des LEDs au sein d’un luminaire diminue de façon considérable la dangerosité potentielle d’un éclairage led aussi nous estimons qu’il n’existe pas de risque d’éblouissement concernant nos ampoules à led dans le cadre d’une utilisation normale et nous confirmerons prochainement le spectre lumineux de toutes nos ampoules à led via un équipement de très haute qualité afin de répondre aux exigences des normes à venir et de vous donner une information toujours plus fiable.
Nous estimons qu’aucune ampoule led équipée de led classiques ne présente de risques pour la santé quand à l’éblouissement qui en découle si utilisées dans le cadre normal d’une utilisation d’une ampoule.
Fixer le soleil par une belle journée ensoleillée entraîne une cécité temporaire probablement plus importante que celle engendrée par nos ampoules à led équipées de led traditionnelles.
Pour rappel,
L’Indium gallium nitride (InGaN) utilisé dans la fabrication des LED Bleues qui elles même serviront de base à la production de la lumière blanche émet du rayonnement dans le bleu (450 nm) mais aussi dans d’autres longueurs d’onde allant jusqu’à 425 nm. Il n’y à donc théoriquement pas d’UV reconnus à ce jour dans la fabrication des LEDs que l’on retrouve sur le marché puisque pour rappel le rayonnement ultra violet s’étend de 100nm à 400nm et est décomposé comme suit :
Le domaine spectral des rayonnements ultraviolets est décomposé en 3 types d’UV. Les UVA (320 à 400 nm), les UVB (280 à 320 nm) et les UVC (100 à 280 nm). Une valeur faible de 425nm n’entre donc pas dans le cadre des UV.
Cet article qui n’engage que son auteur, n’a pas pour but de se substituer à cet excellent rapport mais simplement de clarifier un peu la situation face aux nombreuses questions reçues concernant l’alerte forte ressentie à la publication de ce rapport…
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